Cecil Papers: June 1579

Calendar of the Cecil Papers in Hatfield House: Volume 2, 1572-1582. Originally published by Her Majesty's Stationery Office, London, 1888.

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Citation:

'Cecil Papers: June 1579', in Calendar of the Cecil Papers in Hatfield House: Volume 2, 1572-1582( London, 1888), British History Online https://prod.british-history.ac.uk/cal-cecil-papers/vol2/pp259-261 [accessed 16 November 2024].

'Cecil Papers: June 1579', in Calendar of the Cecil Papers in Hatfield House: Volume 2, 1572-1582( London, 1888), British History Online, accessed November 16, 2024, https://prod.british-history.ac.uk/cal-cecil-papers/vol2/pp259-261.

"Cecil Papers: June 1579". Calendar of the Cecil Papers in Hatfield House: Volume 2, 1572-1582. (London, 1888), , British History Online. Web. 16 November 2024. https://prod.british-history.ac.uk/cal-cecil-papers/vol2/pp259-261.

June 1579

738. Church of St. John of Beverley.
1579, June 4. Warrant under the Sign Manual to cause a book to be made of a grant of certain lands and tenements to the Mayor, Governors, and burgesses of Beverley, and their successors for ever; to be employed to the repair of the Church of Beverley.—Palace of Westminster, 4 June 1579, 21 Eliz. [This Warrant recites that King Edward VI. gave lands, &c. (“heretofore called by the name of the Lands of the Works”) in Beverley, to the valae of £54 2s. 7d., for the repair of the late Collegiate Church of St. John of Beverley, which lands had long before that time been employed to that use, as appeared by a Decree of the Court of Augmentations, dated 12 Nov., 6 Edw. VI. It is also stated that the tenements were “greatly decayed, to the defacing of the town, whereby the revenues aforesaid be diminished.”]
Noted :“This warrant will be sufficient to make a book for the grantyng of the landes within mention'd”—W. Burghley.
Signet affixed.
Parchment, one membrane.
739. Advertisements from the Low Countries.
[1579 ?] June 25. A paper headed : Les dernieres escriptes en Hollande le 22e de Juing s'il vien.
De Zelande le 25e du dit mois.—Extract de quelques lettres qui me ont escriptes d'aucuns principaulx d'entre les Estatz Deputes au Camp.
Nous ne pouvons autrement comprendre de l'enemi fors que ses affaires continuent en la mesme confusion comme ilz ont faict tout ce temps passé. Car, encores que le Prince de Parme soit venu lui mesmes a Mastricht, et qu'il aye par tous moyens et promesses possibles taché à contenter les Espagnols, et traité en personne avecq les Chiefs des amutinés; leur demande est sy irraisonable et son moyen sy court, qu'il na sceu rien faire. Cependant, il avoit faict venir a Maestricht une notable somme, en espérance de les donner contentment par icelle. Mais avons entendu pour certain que les Electos auroient touché des [ja] (fn. 1) une bonne partie, et est pour le Duc despendre cest argent en vain. Il a alentour du dict Maestricht assamble quelque quatre mille hommes de pied et neuf cent chevaulx, y comprins les bendes d'ordonnance d'Artois et de Haynault, mais les autres regimens Ubalons sont aussi amutinés en autres endroitz; du maniere quil ne peult faire aucun effort pour nous faire teste en long temps.
Cependant son Excellence exploite tousjours, et a mis le siege mercredi dernier devant Groningen, et prins à son arrivée quatre foys que ceulx de la ville tenoient aux environs, qui sont de telle importance qu'avecq iceulx la ville est comme blocquée. Ce neantmoins, son Excellence a planté l'artillerie en plain jour devant la ville, sans que ceulx de dedans ayent tiré ung seul coup. Et sont en grand desordre en la ville, comme nous avons sceu par quelques ungs qui sont tombés hors la ville, et venus rendre en nostre armée. Il ny a aucune garnison dedans. Le conte Guillaume de Nassau est devant d'Elfsiel (?) et y a aussy planté le canon. Nous ésperons que Dieu bénira et lung et lautre . . . . ., car l'aparence en est grande. Derdugo (?) estoit entré luy mesmes a Steenvurck avecq toutes ses forces, pensant que nostre armée s'y de voit attacquer, mais il a este trompé.
On a laissé grande et bonne garnison a Demeiter (?) et Sutphen, qui donneront bien de lempeschement a l'Armée, s'il attentoit de vouloir approcher de ce costé.
Monsieur de la Prée, venu de France, depesché de la part du Roy, party incontinent vers son Excellence et les Deputes des Estatz au Camp.
Rungant (?) avecq Cobrisse sont venus icy avecq pasport, et s'en vont aussy en Hollande. C'est merveilles qu'on a consenty a tels galants a venir, car, sans doubte, ce sont doubles espions. Il dict merveilles du Prince de Parme, comme s'il nous vouloit faire du bien. Ce bien viendroit de l'anfer. Nous le voulons du ciel. Ils sont pardela aussy en la mesme créance que le Roy d'Espagne seroit mort. Il dict aussi que le Prince de Parme seroit las des Espagnolz, que les prestres commen-seront enrager sur luy. Mais c'est ung fin Italien, nous ne le croyrons pas pourtant.
Il arrive icy infinité de peuple de Flandres, de Brabant. Les Estatz de Zealande icy faict deffence de n'admettre plus personne s'il ne soit bien cognu.
Endorsed :“Extrait de certaynes lettres.”
1 p.
740. Thomas Clynton.
1579, June. “Monye to be paid to Mab for Mr. Thomas Clynton, between 25 June 1579 and 30 April 1580.

Footnotes

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